c’est Don Diego de la
Vega qui vous colle à la botte.
Nés en février, en juin ou en octobre,
Bernardo répond
de votre vie.
Nés en mars, en juillet ou en décembre,
vous chevauchez dans le giron de Tornado.
Nés en avril, en mai ou en septembre,
c’est Sergent Garcia
qui vous bride le kiki.
Sous le signe de Don Diego de la Vega.
Vous profitez de la dernière démarque pour laver votre linge sale en famille ! D’un Z qui veut dire Zara, vous piquez votre crise identitaire à la pointe de l’épique, vous dépoitraillez l’omerta qui vous empoisonne la vie, et vous n’hésitez pas à faire sauter l’ourlet de tous vos secrets, non-dits, tabous, et autres tissus de mensonges et d’hypocrisie. Sus à la bienséance et au chantage affectif, l’heure est au lessivage de votre intime gadoue, et ça fonctionnera d’autant mieux sans prélavage ni adoucissant.
Vous profitez de la dernière démarque pour laver votre linge sale en famille ! D’un Z qui veut dire Zara, vous piquez votre crise identitaire à la pointe de l’épique, vous dépoitraillez l’omerta qui vous empoisonne la vie, et vous n’hésitez pas à faire sauter l’ourlet de tous vos secrets, non-dits, tabous, et autres tissus de mensonges et d’hypocrisie. Sus à la bienséance et au chantage affectif, l’heure est au lessivage de votre intime gadoue, et ça fonctionnera d’autant mieux sans prélavage ni adoucissant.
Sous le signe de Bernardo.
Vous avez assez longtemps muselé le consommateur - même bien
pensant - qui frémit, frétille et grésille en vous ! L’heure n’est plus à
la sourde oseille, et vous flirtez enfin et à pleine bouche avec la cupidité. D’un
B qui veut dire Bobo, vous signez vos emprunts et vos chèques à la pointe du
stylet, et vous ne lésinez ni à commander online, ni à vous achalander dans le
vif des travées. Qu’il s’agisse d’Emmaüs, de Carrefour, de la Samaritaine ou du
Bon Marché, vous savez mieux que personne rayonner à la carte, chevaucher les
tendances et dépoter du panier.
Sous le signe de Tornado.
Les remises en selle et les galops d’essai, très peu pour
vous. Aussi impulsif qu’inspiré, vous bravez la vie comme elle vient, sans
scrupules et sans chaussettes, d’un OCMDMJP qui veut dire oui, c’est mon
dernier mot, Jean-Pierre. Si on ne vous apprend plus que l’homme est un loup
pour l’homme, vous savez tout aussi bien que le cheval est un dragon pour le
cheval, et que le loup est un masque pour le loup. Et comme vous avez trop de
panache et de fougue pour vous laisser griffer, enfumer, voire mitonner, vous tracez
votre destin sans freiner, n’ayant besoin ni d’amour, ni de gloire, ni de pâté
pour exister.
Sous le signe de Sergent Garcia.
D’un double B voulant dire Bien Bidon, vous vous étiez juré
de remonter la pente de vos penchants avides, et de vous complaire à une alimentation
intelligente, ascète, solidaire et décroissante. Mais votre régime a fini par
vous mettre hors de vous, et votre déprime a surgi, hors de la nuit, et du jour aussi. Qu’à ce
gras ne tienne ! Vous galopez à reculons vers votre gourmandise perdue,
vous brûlez les couv’ de Elle et de Biba pour mieux vous enflammer sur les
calories, et vous remplissez à nouveau à merveille votre fonction de jouisseur,
l’intérieur de votre pantalon, et la démesure de votre caddie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire